• L'exposition annuelle "STROIKO 2000"  s'est tenue cette année du 17 au 23 octobre au NDK et sur son parvis. Elle a, comme tous les ans, attiré de nombreux visiteurs.



    Les exposants sur le parvis du NDK
     

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      Des cuisines, baignoires haut de gamme et les stands sur le parvis du NDK  
     
    DSC02637.JPG   La société allemandeVorverk présente en Bulgarie depuis 2 ans. Inconditionnel de cette marque haut de gamme, je possède ces modèles de thermomix et  d'aspirateur


    Voir aussi STROIKO 2004


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  • Augmentation des salaires de 100% - retombées économiques et alternatives

    Voilà déjà un mois que les instituteurs poursuivent leur grève en réclamant une augmentation de 100% de leurs salaires qui sont inférieurs au salaire moyen dans le secteur public (soit environ 350 lv). C’est la grève la plus longue dans la nouvelle histoire de la Bulgarie, mais elle se rapproche déjà de son dénouement. Les instituteurs obtiendront probablement une majoration de moins de 70%. Le commentaire de Dimitar Tchobanov de l’Institut d’économie de marché :

    « Les revendications des instituteurs pour un relèvement de 100% de leurs salaires sont justifiées car ils sont moins payés que les autres fonctionnaires du service public. Mais si le gouvernement décide se satisfaire leurs revendications, ce serait un signal sérieux pour les autres catégories socio-professionnelles dans le sens que le gouvernement est prêt à céder à la pression. Nous avons déjà un précédent avec les chauffeurs du transport public à Sofia. On observe déjà des signes de surchauffe de l’économie, le taux d’inflation est assez élevé – 13% pour la période de septembre 2000 à septembre 2007. D’autre part, les effectifs des chômeurs diminuent et le taux de chômage est déjà inférieur à 7%. Ce recul exerce une forte pression sur le marché du travail. La demande d’ouvriers et de spécialistes hautement qualifiés s’est accrue sensiblement et la tendance se poursuit. Si on relève les salaires des instituteurs de 100% avec toutes les conséquences néfastes, l’excédent budgétaire serait épuisé et il céderait la place au déficit. On assistera à une réaction en chaîne dans les secteurs public et privé, phénomène qui priverait l’économie bulgare de son atout le plus fort – le prix très bas du travail, provoquant le départ de beaucoup d’investisseurs. »

    Les syndicats contestent ces pronostics économiques avec l’argument que l’augmentation des salaires dans le secteur public est le dernier facteur susceptible de stimuler l’inflation chez nous car ces revenus sont pratiquement gelés. L’augmentation des salaires de 10% au milieu de l’année ne fait que compenser l’inflation.

    L’Institut d’économie de marché propose une solution intéressante. Selon les experts, un relèvement des salaires des instituteurs de 70% environ est possible à condition d’« optimiser » les effectifs dans ce secteur. En d’autres termes, ils proposent une réduction de 30% du nombre des enseignants, une diminution de 50% du personnel non pédagogique dans les écoles et une réduction d’un tiers des effectifs des personnes engagées dans l’administration et des inspecteurs. Une telle mesure permettrait d’économiser 100 millions d’euros environ, ce qui rendrait possible une augmentation de 68% des salaires.
    Aux dernières nouvelles on leur allouerait 650 lv brut (325€) mais les enseignants continuent de revendiquer 780 lv !

    Voici quelques images et une vidéo de la grande manifestation du jeudi 18 octobre devant le conseil des ministres

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    La tournée des capitales européennes de Nicolas Sarkozy s'est arrêtée le jeudi 4 oct à Sofia, en Bulgarie, où le président français a été honoré pour son rôle en faveur des infirmières et du médecin libérés cet été des prisons libyennes.

    Il a débuté sa journée bulgare avec les honneurs militaires qui lui ont été rendu sur la place Nevski oui il a déposé une gerbe au monument du soldat inconnu. Il a pris un bain de foule, saluant la foule des bulgares et de la communauté française.

    Nicolas Sarkozy a justifié l'absence remarquée à Sofia de son épouse Cécilia, expliquant que, "blessée" par la polémique en France sur son rôle dans la libération des prisonniers de Tripoli, elle a choisi d'être "la plus discrète possible".

    Tous étaient réunis jeudi à 17h30 à la résidence de l'ambassadeur de France. "Vous les voyez comme je les vois là, ça donne une signification à l'engagement politique de toute une vie", a déclaré Nicolas Sarkozy à l'assistance, tandis qu'une infirmière versait une larme.

     

    "Ça compte de rendre le sourire à des femmes et à un homme qui l'avaient perdu depuis si longtemps", a ajouté le président français, qui a fait applaudir Sylvie Vartan, présente avec son mari Tony Scotti, à ses côtés . La chanteuse d'origine bulgare s'était beaucoup mobilisée pour les captifs de Tripoli.

     

    "Merci de tout coeur, M. le président, vous êtes notre sauveur", ont écrit en français les anciens prisonniers dans une lettre remise au chef de l'Etat.

     

    C'est aussi en signe de remerciement pour son action dans ce dossier que Nicolas Sarkozy a reçu dans la matinée des mains du président bulgare, Gueorgui Parvanov, le grand ruban de la Stara Planina, la plus haute distinction du pays.

     

    "VOUS ÊTES DES EUROPÉENS"

     

    Cette libération a été possible grâce à la solidarité européenne, a rappelé Nicolas Sarkozy, ajoutant que la Bulgarie ne serait, désormais, "plus jamais seule".

     

    Le président français a invité à plusieurs reprises la Bulgarie, pays le plus pauvre des Vingt-Sept, à s'engager pleinement dans la construction européenne.

     

    Faire des huit pays d'Europe de l'Est nouvellement entrés dans l'UE des "piliers" du continent sera une "priorité majeure" de la présidence française, au second semestre 2008, a-t-il assuré, car c'est dans cette région "que se jouera une partie de l'identité de la nouvelle Europe".

     

    "Ne pas vous accueillir aurait été une honte pour l'Europe", a-t-il lancé à des centaines d'étudiants venus l'écouter à l'université Saint-Clément d'Ohrid, la plus ancienne de Bulgarie.

     

    "Vous êtes des Européens, ni plus ni moins que les Français. Vous n'avez pas à vous excuser d'être les derniers arrivés", a insisté Nicolas Sarkozy, qui était accompagné du secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Jean-Pierre Jouyet.

     

    En réponse à un étudiant, le chef de l'Etat a fixé les priorités pour la présidence française de l'Union : doter l'Europe d'une politique commune dans les domaines de l'énergie, de l'immigration, de la défense et de l'environnement.

     

    Il a réitéré son opposition à l'entrée dans l'UE de la Turquie, pays frontalier de la Bulgarie, et lancé une nouvelle pique contre Moscou, où il se rend la semaine prochaine.

     

    La Russie doit être "un facilitateur" et non pas "un pays qui complique les grands problèmes du monde", a-t-il dit.

     

    Les questions économiques ont dominé ses entretiens avec le Premier ministre, Serguei Stanichev.

    Les deux hommes sont convenus de poursuivre la coopération franco-bulgare, notamment en matière d'énergie nucléaire et de défense. Nicolas Sarkozy a émis le souhait que soit réglée avant la fin de l'année la question de l'achat à la France par la marine bulgare de quatre corvettes de type Gowind

      Quelques photos de la cérémonie   

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    Vidéo de la cérémonie des honneurs militaires

    Vidéo du discours du président à l'ambassade de France

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